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Elèves sera une série de petits textes sur les rapports complexes entre les étudiants et leur professeur. Cette série sera l’occasion de voyager autant géographiquement que dans des univers diverses.
Elèves 01 — Japon
1823 Japon
L’eau bout dans l’espèce de marmite appelée kama. Des volutes de vapeur se mêlent à celles de l’encens qui parfument la minuscule pièce de deux tatamis. Dans l’un d’eux, un trou où sont installés des bâtons de charbon rougeoyants qui chauffent la kama suspendue à une crémaillère.
Le maitre de thé est concentré. Il tient une louche en bambou et verse de l’eau chaude dans un bol. La cérémonie est nimbée de calme et seuls les frémissements de l’eau et le chant des étourneaux du jardin plissent le silence en d’harmonieux impromptus. L’homme d’une cinquantaine d’année, drapée d’un kimono noir et de solennité exécute le rituel devant ses deux étudiantes. La leçon du jour consiste juste à participer à la cérémonie et à mémoriser la procédure.
FURUI Hido est réputé à Edo. A la fois érudit, médecin et maitre de thé, il jouit d’une situation aisée et enseigne l’art du thé à différents cercle d’étudiants dans son jardin zen où un pavillon de thé émerge au milieu des érables, des saules et des ginkgos. En grande majorité, les élèves viennent des couches aristocratiques de la société et de la bourgeoisie de l’ancienne capitale nipponne. Néanmoins, Hido san a accepté deux élèves, deux sœurs du marchand de bois du quartier qui sont en âge d’être mariées.
Dans leur modeste kimono, Sobokuna et Zu admirent attentivement le maitre préparer le thé. Elles viennent pour la quatrième fois et sont toujours impressionnées par le luxe du jardin et le charisme de Furui Sensei. A la fin de la cérémonie, elles sont interrogées et elles font de leur mieux pour satisfaire le maitre. Il se racle la gorge pour toute réponse.
Ensuite, il montre comment plier le carré de tissu en soie servant à essuyer les ustensiles. Comme Zu, la plus jeune n’y parvient pas, il lui demande de venir devant lui. L’étudiante aux yeux très bridées s’agenouille devant l’homme qui saisit les petites mains de la jeune fille. Zu est impressionnée par la stature puissante de l’homme et elle rougie lorsque ses mains sont prises par celles du maitre.
Comme à la fin de chaque cours, Zu, la plus jeune des deux soeurs, du haut de ses dix-huit ans est invitée à partir seule pour laisser sa sœur apprendre quelques mouvements de plus. Elle sort dans le chic quartier pour rejoindre celui moins reluisant de ses parents. Elle aimerait bien apprendre également les secrets de Chanoyu avec Sobokuna. Le père leur a certifié qu’elle aurait une bonne condition si elles devenaient maitresse de thé.
FURUI Hido fait glisser la porte de papier qui donne sur le jardin de pierre. Son élève de dix-neuf ans vient se mettre à genou face au spectacle qu’elle admire et sent son maitre s’installer derrière elle. Elle est petite et très fine. Sa longue chevelure noire est bien relevée par un chignon savant. Au début, elle n’était pas à l’aise mais les manières douces de l’homme la rassuraient.
Mais aujourd’hui, derrière elle, le cinquantenaire dénoue la ceinture qui maintient le kimono de son élève. Il pose ses lèvres sur le cou gracile dégagé par un chignon très serré. Les deux pans de tissu s’ouvrent et offrent aux conifères taillés en espalier et aux roches recouvertes de mousse, la nudité pure de la jeune femme.
Le cœur de Sobokuna accélère dans sa poitrine. Elle suspend son mouvement de pliure et redresse sa tête. La bouche humide sur son cou la sidère.
– Continue ton mouvement, souffle le Maitre de thé. Aucune perturbation extérieure et intérieure ne doit interrompre ta concentration.
Elle avale sa salive et continue le pliage du carré de soie. Elle est nue sous son kimono ouvert. Son absence de poitrine permet à sa famille de faire l’économie de tissu de contention. Les deux mains du vieil homme se placent sur les deux seins. La chaleur des paumes surprend la jeune femme qui termine son pliage.
Au moment où FURUI Hido pince doucement les deux mamelons, il lui souffle dans l’oreille :
– Maintenant, prend la louche comme je l’ai montré et prend de l’eau dans la kama. Reste concentrée.
Sobokuna avance sa main vers le manche de la louche en bambou. Les doigts de son professeur roulent sur ses tétons et la vierge sent son ventre frémir comme un van escort volcan en éruption et sa honte croître jusqu’à engloutir son âme. Elle tremble quand elle soulève la louche légère.
– Juste l’instant, juste ce moment. Ima no ima.
La jeune élève obéit mais la main droite du professeur descend le long de son ventre et glisse vers son bas ventre. Juste avant d’atteindre sa cible, le mamelon gauche est pincé fortement et l’élève lâche un petit cri. Tout de suite, elle s’en veut, juste après la sensation d’une main sur son sexe velu.
Dehors, des lanternes de pierre jalonnent les sentiers sinueux. Les érables, avec leurs feuilles rougeoyantes, contrastent avec la mousse émeraude qui tapisse le sol. Un petit pont en bois laqué enjambe un ruisseau limpide, où des carpes koï nagent gracieusement. Au centre, le pavillon de thé, simple et élégant, invite à la méditation. Une porte de papier est à demi ouverte. A l’intérieur, sur des tatamis, une jeune femme coiffée d’un chignon, le kimono ouvert, offre sa simple nudité. Les mains d’un vieil homme agenouillé derrière, parcourent ses parties intimes. Le doux murmure de l’eau et le parfum subtil du thé matcha créent une ambiance sereine, propice à la réflexion et à la paix intérieure.
“Sobokuna” signifie “simple” ou “rustique”. Il décrit quelque chose de naturel, non sophistiqué, et qui dégage une certaine pureté ou innocence. Malgré l’avilissement qu’elle subit, la jeune femme puise de l’eau frémissante dans la kama qui est suspendue dans le pavillon. Au moment, où elle ramène la louche pleine vers le bol, un doigt fend ses chairs et s’immisce dans son sexe. Elle se redresse vivement.
– Ne laisse pas de l’eau goûter sur le tatami, souffle FURUI Hido qui en profite pour lécher la peau lisse et satinée de son élève du bout de sa langue humide.
Sobokuna ouvre la bouche de dégoût. L’envie de se révolter meurt au fond de sa gorge. Malgré tout, elle se concentre et verse l’eau de la louche en bois dans le bol posé devant elle, sur le tatami. Un filé de chaleur s’élève de son ventre vers sa poitrine. Une sombre excitation que la vierge naïve ne connait pas. Un deuxième doigt pénètre son sexe et son téton roule entre les doigts de l’homme qui embrasse son cou, son oreille et sa nuque.
– Bien. Tu as su versé l’eau dans le bol.
FURUI Hido se redresse. Il se penche pour attraper les deux pans du kimono et noue la ceinture. Il reprend sa place et salue son élève qui l’imite toute distraite. Il prend congé et laisse son élève seule dans le petit pavillon. Au bout d’un moment, elle s’extrait de l’habitacle, traverse le magnifique jardin et emprunte le chemin pour rejoindre sa sœur dans la petite échoppe de leur parent.
Les joues brûlantes sous l’affront du vieil homme, ses gestes indignes résonnant encore dans son esprit, Sobokuna marche lentement dans son kimono légèrement élimé. Pourtant, au-delà de la honte et de la douleur, une étrange excitation s’est insinuée en elle, trouble et inavouée. Chaque touchée avait éveillé en elle une sensation indéfinissable, un frisson sombre qui la laisse pantelante. Tandis qu’elle se souvient de ses seins palpés, de son sexe fouillé, des baisers sur son cou, un désir secret nait en elle, presque honteux : celui de revivre ce moment, de ressentir à nouveau cette étrange intensité, cette fusion de douleur et de plaisir qu’elle ne comprend guère.
***
LA SEMAINE SUIVANTE, les deux sœurs assistent à l’enseignement de leur professeur. La jeune Zu est très concentrée et veut montrer qu’elle est aussi douée que sa sœur. Mais comme la semaine précédente, FURUI Hido lui demande de partir pour qu’il enseigne plus particulièrement à Sobokuna. Elle sort du pavillon et emprunte le petit chemin et traverse le petit pont rouge, au-dessus de la mare où des carpes koï nagent paisiblement. Elle s’arrête pour les regarder.
Dans le pavillon, maitre FURUI ouvre les deux pans en papier qui donnent sur le jardin. Son élève ne bouge pas. Elle redoute et espère ce moment depuis une semaine. A genou face au vieil homme, elle l’observe préparer une nouvelle cérémonie. Une fois en position, le professeur dénoue son propre kimono et écarte les pans de son habit noir pour dévoiler son corps nu. Il ne porte pas de culotte. Sa peau halée légèrement fripée de son ventre surprend la jeune élève. Elle constate le sexe mou dans son buisson.
Dans le yalova escort jardin, la jeune Zu se redresse et laisse les carpes à leur existence paisible. Alors qu’elle atteint le bout du pont et qu’elle bifurque derrière l’érable, elle note que le pavillon de thé est ouvert. Elle se tourne et examine le corps nu de son professeur. Sa gorge se noue. Que font-ils quand elle n’est pas là?
FURUI Hido commence la cérémonie en déposant les différents ustensiles sur le tatami. Les mains correctement posées sur ses genoux, Sobokuna observe les mouvements mais lorgne également sur le sexe de l’homme.
– Approche de moi, mets-toi à côté et prend mon sexe dans ta main, dit-il.
La jeune femme ne réagit pas tout de suite et regarde son maitre continuer la cérémonie. Finalement, elle se redresse et se positionne à sa droite. Hésitante, maladroite, elle tend son bras et du bout des doigts elle touche la peau de la queue molle. Sa poitrine se remplie d’une vapeur d’excitation et d’appréhension.
– Caresse-la et serre-la un peu.
A une dizaine de mètre du pavillon, Zu espionne la main de sa sœur qui prend le sexe du vieil homme et le secoue doucement. La petite nipponne ne comprend pas. Le professeur continue la cérémonie et sa sœur ose le toucher.
Sobokuna branle et le sexe gonfle. Elle écarquille les yeux devant ce membre qui change et se meut. FURUI Hido verse de l’eau bouillante dans un bol pour le réchauffer. Toujours la verge dans le creux de sa main, son visage rougit de honte, mais ses yeux brillent d’excitation.
– Quoiqu’il se passe, murmure le professeur qui essuie le bol avec concentration, tu dois toujours demeurer fixé sur le geste.
Sobokuna sent la dureté du sexe qu’elle serre. Elle part de la base du membre et remonte vers le bout où la peau se flétrit. Dans son esprit, un charivari d’émotions et de bribes de pensée éparses. Dans son corps, une lave d’excitation corrode sa gorge, gonfle ses modestes seins, vrille son ventre plat et brûle son vagin humide.
– Penche-toi et mets-moi dans ta bouche. Tu suceras.
Encore une fois, un temps est nécessaire à la jeune nipponne pour enregistrer l’ordre. Quand son visage approche de la verge en érection, l’hésitation suspend son geste. Puis, elle le met dans sa bouche et referme ses lèvres sur la tige chaude. Les mouvements de préparation du thé du vieil homme continuent.
La tête qui monte et descend alors que la bite est dans la bouche de sa grande sœur écœure l’espionne tapit derrière l’érable. En fait, non. Zu n’est écœurée, plutôt elle ne comprend pas. Mais sa main chemine entre les pans de son kimono et, comme elle le fait parfois certain soir discrètement pour ne pas éveiller Sobokuna dans leur chambre, elle se touche le sexe.
L’humidité des lèvres de l’élève recouvre la verge raide d’une couche de salive. Le professeur verse l’eau sur la poudre de matcha. Alors qu’il fouette le liquide avec l’ustensile en bambou, il observe son élève le sucer avec dévotion. Il ferme les yeux de plaisir et redresse son cou. En rouvrant les yeux, qui se posent dans le jardin, il aperçoit Zu derrière un arbre. Il sourit en lui-même.
D’un geste du bras, il lui fait signe de les rejoindre. A une dizaine de mètre, le cœur de Zu éclate. Le rouge à ses joues explose. Son ventre se contracte. Elle voit bien FURUI Hido l’appeler d’un geste et sa grande sœur sucer le sexe du vieil homme. Que faire? Partir mais sûrement déclencher un scandale ou rejoindre le pavillon?
Sobokuna aime sentir la verge dure sur sa langue et contre les parois de ses joues. Soudain, elle prend conscience qu’elle est capable de plaire à un homme et de lui donner du plaisir. Son statue d’enfant s’écroule. Elle quittait la candeur pour embrasser le savoir de la femme. Elle ose prendre les testicules dans une main. Que c’est agréable! L’étudiante prend plaisir au plaisir qu’elle offre.
Soudain la porte coulisse. Elle se redresse et voit sa petite sœur entrer. Elle veut se révolter mais FURUI Hido appuie sur l’arrière de sa tête pour qu’elle reprenne sa fellation. La bouche s’ouvre automatiquement et avale la verge luisante.
– Tu veux ton cours particulier? interroge le vieux japonais qui pose sa main sur le chignon de Sobokuna.
Zu hoche la tête et, quand son professeur lui demande d’ôter son kimono, la fellatrice tente de protester mais son maitre l’en dissuade. L’espionne çorlu escort délasse le nœud de sa ceinture et laisse choir son habit. La jeune femme se tient droite, sa silhouette émergeant avec une grâce naturelle. Ses bras, relâchés le long de son corps, suggèrent une absence de défense, une ouverture à ce qui pourrait advenir.
Son visage délicat est traversé d’émotions mêlées. Les yeux bridés, légèrement baissés, semblent contempler un horizon intérieur, empreint d’hésitation et d’appréhension. La bouche fine, à peine entrouverte, pourrait murmurer des pensées inachevées, capturant un instant de doute figé. Chaque courbe de son corps est délicate. Ses seins, deux jolies petites sphères de chaire, sont rehaussés d’une minuscule aréole sombre d’où émerge un mamelon dressé.
Les bruits de sussions de la fellatrice s’harmonisent avec les gazouillis des oiseaux qui jouent dans le jardin. D’un signe du doigt, FURUI Hido fait approcher son étudiante. Le cœur battant, la gorge sèche, Zu se déplace sur les tatamis et s’agenouille juste devant son professeur, à côté de sa sœur qui est penchée sur le sexe droit. Elle constate que la poitrine de Sobokuna est gonflée par la gravité qu’impose sa position. Le vieil homme porte sa main entre les cuisses de Zu qui ne bronche pas.
– Tu es mouillée! Ne bouge pas.
Alors, le professeur commence à caresser le clitoris lentement en roulant le bout de son index dessus tandis que son majeur longe les lèvres qui s’écartent. La vulve suinte.
Dans sa bouche, Sobokuna sent la verge gonfler encore. Elle ne distingue pas sa sœur à côté mais elle sait que cette dernière la voit dans cette position honteuse. Pourquoi est elle revenue? Quelle ignominie! De temps en temps, quand elle ralentit sa fellation, son professeur l’encourage en poussant derrière sa tête.
Les gémissements, plutôt des petits cris, commencent à venir. Zu ne résiste pas à la caresse de son maitre et elle retrouve les sensations qu’elle se donne parfois le soir mais en beaucoup plus plaisante. Le plaisir monte et elle finit par jouir. Elle geint assez fort. Sa tête tourne et elle se laisse tomber sur le tatami.
C’est alors que FURUI Hido allonge Sobokuna à côté de sa sœur. Il lui écarte délicatement les cuisses maigres et s’y installe. Il regarde sans pudeur le sexe poilu. L’étudiante a envie de se cacher. Alors qu’elle tourne la tête pour examiner sa petite sœur qui se redresse après son orgasme, le vieil homme la pénètre d’un coup, sans ménagement. Quand son hymen est fêlé puis déchiré, elle hurle.
– Boit le bol de matcha, demande-t-il à Zu qui est revenu à elle.
L’étudiante s’agenouille et apporte le bol à ses lèvres. Tout en dégustant le thé, elle observe sa sœur qui devient femme. L’homme est allongé sur elle. Il lèche les mamelons et ses hanches donnent des petits coups. A chaque pénétration, Sobokuna gémit. Cette dernière, pleure et remarque que sa petite sœur l’observe en buvant tranquillement au bol.
Soudain, le vieil homme se redresse et, la verge dans la main, il éjacule sur le ventre de son étudiante. Les deux sœurs contemplent les jets de sperme qui jaillissent de la queue.
Dans le pavillon de thé, Zu et Sobokuna sont maintenant côté à côte, leur cuisse se colle. Zu, élégante et fine, a posé le bol de thé. Ses yeux perçants observent chaque mouvement du professeur face à elle. Sobokuna incarne la douceur et la simplicité. Ses cheveux sont défaits et dans son ventre, un désir inassouvi gronde. Leurs regards se croisent, l’air chargé de tension subtile.
Le vieil homme se penche légèrement et place chacune de ses mains entre les cuisses de chacune des sœurs. Il commence à les doigter.
– Caressez-vous les seins.
Zu porte ses mains sur ses jolis seins ronds. Quant à sa sœur, elle hésite avant d’empaumer sa poitrine. Les deux étudiantes sentent les doigts de FURUI sensei masser la partie antérieure de l’intérieur de leur vagin tandis que sa paume de main écrase doucement le clitoris.
Sobokuna se tend. Le plaisir arrive du fond de son ventre. Mais comme son professeur ralenti et lui ordonne de patienter, elle tente de maintenir le plaisir assez haut sans le laisser l’envahir. Sa sœur sent les doigts du vieil homme accentuer leurs caresses en elle. Elle commence à gémir.
C’est à ce moment, que le vieux professeur fixe ses élèves dans les yeux et leur ordonne de jouir. Les deux sœurs se tendent. Leur peau frémit. Leur bouche s’ouvre et des petits cris s’envolent. Malgré elle, comme embarquées dans un raz-de-marée qui risque de les engloutir, elles se tiennent la main sans se regarder et jouissent ensemble sous les doigts agiles de leur professeur.
FIN
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